jeudi 20 mars 2014

Faisons de Jonzac une ville épanouie !

Certains soirs, quand on se promène dans les rues de Jonzac, on constate que peu d’habitants résident en centre ville. Au fil des années, la ville s’est dépeuplée et pourtant, les logements à restaurer y sont nombreux (beaucoup d’immeubles sont inoccupés). Des maisons sont également à vendre, dont deux très bien situées rue Winston Churchill. Leurs occupants ont tiré leur révérence et leurs descendants n’habitent pas la région. Le dernier recensement est explicite. De 4500 habitants dans les années 1980, la population est descendue à 3491. Heureusement, il y a les curistes qui, venant de quatre coins de France, apportent une animation particulière durant plusieurs mois de l’année.

Vue aérienne de Jonzac (photo N. Bertin)

Pour que la capitale de la Haute-Saintonge reste un lieu d’échanges et de production, elle doit séduire de nouveaux habitants et pour cela, il faut convaincre des entreprises de s’y établir en créant des emplois. Des retraités peuvent également choisir de s’y installer. Bien sûr, on vous dira que tout se passe hors les murs, du côté du complexe aquatique des Antilles, belle réalisation de la Communauté de Communes de Haute Saintonge, du casino et bientôt du futur palais de congrès. Si ces différentes animations attirent effectivement joueurs et baigneurs, il est moins sûr qu’ils se rendent en centre ville pour faire leurs courses après avoir quitté les machines à sous, les bassins sportifs ou de remise en forme. Par ailleurs, un facteur est à prendre en compte : la présence des centres commerciaux (Intermarché et bientôt Leclerc, dont les travaux d’extension débuteront en septembre) fragiliseront forcément le tissu commercial urbain.

L'enjeu des élections municipales du 23 mars, c'est tout simplement de mettre fin au déclin démographique de Jonzac. Pour que Jonzac retrouve son attractivité, la liste que conduit Jack Ros propose d’en améliorer le cadre de vie (en prenant en compte la ville dans sa globalité) et de valoriser le patrimoine pour en faire une ville d’art et d’histoire. Certes, les critères sont exigeants mais tous ensemble, nous pouvons y arriver. Pour l’instant, Jonzac figure parmi « les plus beaux détours de France ».
Chacun sait que le patrimoine et la culture participent directement à l'économie locale. Resserrer des liens entre les associations, la population et la municipalité fait partie des actions à mener. Que le talent soit profitable à tous et s’épanouisse dans une ville apaisée où il fait bon vivre !
Une commune, c'est un lieu où les habitants doivent trouver une oreille attentive pour conduire à bien leurs projets. D’où la création d’un comité des fêtes et d’une maison des jeunes. La politique culturelle d’une petite ville est de permettre à ses habitants de côtoyer non seulement la culture, mais aussi de l'inventer. Or, pour l’inventer, il faut être libre de ses opinions.

En apportant notre pierre à l’édifice, nous pouvons rendre à Jonzac, la ville que nous aimons, une ambiance gaie et chaleureuse qui contribuera à la qualité de vie de ses habitants et attirera, par son rayonnement, un large public.
Construire tous ensemble est l’un des objectifs que la liste, réunie autour de Jack Ros, entend concrétiser pour le renouveau de la cité.

lundi 17 mars 2014

Aménager avec goût, est-ce possible ?

Réflexion 

Un coteau de vignes surmonté par un petit château, c’est une image typique des livres qui illustrent notre campagne viticole de Haute Saintonge. Ce type d’urbanisme, par ailleurs, s’inscrit dans le prolongement d’une conception plus ancienne de l’habitat rural des bords de Seugne, comme en témoignent les fouilles de la belle villa gallo-romaine non loin de là. Et la vie sur les bords de Seugne a des attraits depuis longtemps : les abris sous roches qui jalonnent la rive en portent témoignage.

Or, la résidence « Le Carré des Antilles » est une véritable aberration architecturale dans un paysage typique qui aurait pu rester, aux portes de Jonzac, une image emblématique du charme du val de la Seugne. Ce projet avait été mené par la SEMDAS, avec l’accord de la municipalité.
Le développement économique ne doit pas occulter toute considération esthétique. On ne peut parfaitement essayer de concilier les deux !
On a égratigné sans remords un des sites qui faisait le charme des bords de Seugne ; on a développé des constructions hétéroclites, sans vision plus large d’un urbanisme qui aurait pu correspondre à l’ambition touristique de notre ville.
Et maintenant voilà qu’on nous annonce l’implantation auprès des sources, c’est-à-dire quelques mètres plus loin, avant le deuxième rond-point de la route de Champagnac, d’une entreprise d’embouteillage de l’eau de Jonzac. Admirable en vérité !
Plus de promenades dans un cadre champêtre ! Le val de Seugne, livré à un développement économique anarchique, urbanisé, voire industrialisé, aura perdu son âme ! Si économiquement l’idée se justifie, en revanche pas un mot sur une éventuelle réflexion collective quant à l’intégration de cet établissement dans l’ensemble du paysage jonzacais.

Sans remettre en cause l’absolue nécessité de projets de développement de la ville, ni s’abandonner à une nostalgie stérile d’images du passé, ne pourrions-nous pas envisager un développement économique enfin soucieux du patrimoine écologique de notre région et de ses atouts touristiques ?

 P.G.

samedi 15 mars 2014

La tirade du canard

Tirade dédiée à tous ceux qui ont du nez !

• Publié : Canard du mercredi, mandarin tu as épinglé
• Détourné : Viens là, canard laquais que je t’attrape pour te clouer le bec !
• Dépité : Où es-tu toi mon canard ? J’ai beau marché, sans la liberté de blâmer, il n’y a pas d’éloge flatteur !
• Etonné : Pourquoi diantre la satire est-elle cachée avant même d’avoir sa vérité révélé ?
• Enchaîné : Sortez donc ce journal du placard où vous l’avez dissimulé
• Courroucé : Rendez-moi mon canard que je puisse m’informer sans photocopie utiliser ?
• Avisé : Utilisez donc la toile que le web a tissé
• Perturbé : Mais qui donc au royaume de Jonzac la libelle a osé subtiliser ?
• Mensonger : Agitez l’eau de la mare. Elle deviendra si troublée que la visibilité en sera altérée !
Remonté : Défenseurs des courageux palmipèdes, ne laissez pas cette affaire dans un coin(coin)…
Enjoué : La danse des canards vous exécuterez dix fois pour vous faire pardonner  !!!

vendredi 14 mars 2014

Jonzac : c'est la danse des canards !

Mercredi matin, une équipe de France 3 était à Jonzac pour suivre les derniers événements liés à l'article du Canard Enchaîné concernant le sénateur maire de Jonzac. Le satirique journal n'a jamais autant vendu dans la capitale de la Haute-Saintonge que ce jour-là ! En effet, les dépositaires ont été dévalisés en deux temps trois mouvements, geste orchestré sans doute par un grand défenseur de la liberté de la presse !


A ce sujet, les personnes qui voudraient se procurer le fameux numéro (devenu collector) peuvent adresser un courrier au service abonnement du Canard Enchaîné (173, rue Saint-Honoré - 75001 Paris), en joignant un règlement de 2,50 euros (timbres ou chèque). Il leur sera adressé par retour du courrier.

• Voir le reportage télévisé :
http://www.jackros-jonzac.com/journal-regional-fr3-poitou-charentes-edition-atlantique-12-03-2014/

jeudi 13 mars 2014

Jonzac :
Cherche Canard Enchaîné désespérément !

Communiqué : Quand Claude Belot prive les Jonzacais de leur droit à l'information...

Dans son édition du 12 mars 2014, "Le Canard enchaîné" a publié un article intitulé "Un bon maire de famille" portant sur un marché public attribué à la société "Global Consulting & Auditing CLE" et épinglant Claude Belot. Or, la teneur de cet article a visiblement fortement déplu au maire sortant. Ainsi, afin d'en limiter au maximum la lecture par nos concitoyens, plusieurs personnes de son entourage ont, dès l'ouverture des lieux de vente du journal, procédé à l'achat de la totalité des exemplaires disponibles sur la ville de Jonzac. Je ne peux que fermement condamner une telle attitude consistant à priver les Jonzacais de leur droit à l'information, empêchant ainsi nos concitoyens de se forger leur propre opinion en citoyens libres et responsables. Il s'agit là d'une atteinte grave à la liberté de la presse en particulier et aux grands principes républicains en général. Enfin, pour la libre information des Jonzacais, l'article en question est librement consultable sur mon site internet à l'adresse suivante : jackros-jonzac.com.

Jack Ros pour la liste "Vivre et agir ensemble pour Jonzac"

mercredi 12 mars 2014

Le sénateur-maire de Jonzac, Claude Belot, épinglé par le Canard Enchaîné

Mercredi, après le journal Sud-ouest la semaine dernière, le Canard Enchaîné a consacré un article au sénateur maire de Jonzac, Claude Belot, qui est également président de la Communauté de communes  de Haute-Saintonge.



mardi 11 mars 2014

Jack Ros : un nouvel élan pour Jonzac

Municipales : Ce soir mardi à 20 h 30, salle de la mairie de Jonzac, grande réunion de la liste que conduit Jack Ros "Vivre et agir ensemble pour Jonzac". 
Présentation de la liste, des futurs adjoints et du projet de ville. 
Venez nombreux débattre d'un nouvel élan pour Jonzac !

lundi 10 mars 2014

Contribuables associés : 300.000 militants contre les gaspillages de l'argent public

• Résultats de cette étude en ce qui concerne Jonzac :

ELECTIONS MUNICIPALES : VOTRE MAIRE EST-IL DÉPENSIER ?
VOICI L’ÉVALUATION DE VOTRE COMMUNE D’APRÈS SES DÉPENSES :

JONZAC (17500)
CC HAUTE SAINTONGE
CHARENTE-MARITIME
Poitou Charentes
3831 habitants

Maire de la commune :
Monsieur Claude BELOT

Niveau des dépenses par habitant en 2012 

2727 €
Moyenne des communes de la même taille :
1385 € 




LES DONNÉES BUDGÉTAIRES DEPUIS 2008 : DÉPENSES, PRÉLÈVEMENTS ET DETTE
DÉPENSES
C’est le niveau de dépenses totales par habitant qui permet de calculer la note principale du maire de la commune, par comparaison avec les autres communes de même taille.

Ce paramètre est important, car des dépenses élevées nécessitent des ressources élevées (impôts, subventions, dette...)
Les dépenses de la commune (rapportées au nombre d’habitants) sont la somme des dépenses de fonctionnement et des dépenses d’investissement de la commune. Les dépenses de personnel sont une partie des dépenses de fonctionnement, mais permettent d’avoir une idée de la bonne gestion de la commune.

L'évolution des dépenses permet de mesurer l'effort fait par la commune pour les maîtriser pendant le dernier mandat. La note principale mérite d'être nuancée par cette seconde note :


La note d’évolution des dépenses de la commune (hors communauté de communes) entre 2008 et 2012 est de : 
9 /20
5.7 % par an



2008
2009
2010
2011
2012
Dépenses totales de la commune par habitant
2251€
2622€
2421€
2264€
2727€
dont Dépenses de Fonctionnement par habitant
1171 €
1392 €
1378 €
1304 €
1463 €
dont Dépenses de Personnel par habitant
516 €
573 €
603 €
561 €
604 €


La plupart des maires ont délégué une partie des missions de la commune à une communauté de communes. Les dépenses de cet échelon administratif supplémentaire peuvent atteindre des niveaux très élevés.
En effet, à l'échelle de la France, les dépenses des communautés de communes représentent plus du quart des dépenses totales de l'échelon communal. 

En 2012, les dépenses par habitant de la communauté de communes s'élèvent à : 330 €. En additionnant les dépenses de la commune à celles de la communauté de communes, la dépense totale par habitant s’élève à 3057 €.

IMPÔTS ET TAXES
Fiscalité locale 
Prélèvements
Tendance depuis 2008 7.3% par an
Les impôts et taxes sont à la fois prélevés sur les habitants et sur les entreprises.


2008
2009
2010
2011
2012
Prélèvements totaux par habitant
539€
600€
659€
694€
736€

En 2012, les impôts locaux de la communauté de communes s’élèvent à 109 € par habitant.

Évolution des taux 
La fiscalité locale repose pour l’essentiel sur 4 taxes différentes : la taxe d’habitation, la taxe sur le foncier bâti, la taxe sur le foncier non bâti et la contribution territoriale des entreprises. Les montants prélevés sont le résultat d’un calcul basé sur l’assiette (la base taxable) et les taux (le pourcentage prélevé sur cette base). Seuls les taux sont votés par le conseil municipal.



DETTE
Tendance depuis 2008 38.8% par an
Quand les impôts, les taxes, les subventions et les dotations de l'Etat ne suffisent pas à financer les dépenses de la commune, le maire peut avoir recours à l’endettement. 
Le remboursement des anciennes et nouvelles dettes a un coût croissant au fur et à mesure que la commune contracte de nouvelles dettes. Les intérêts de la dette alourdissent les dépenses de fonctionnement 


2008
2009
2010
2011
2012
Dette par habitant
115€
250€
245€
144€
338€







dimanche 2 mars 2014

Invitation à la réunion publique
du mardi 11 mars à 20 h 30 Jonzac



• Liste «Vivre et agir ensemble pour Jonzac» 

1 - Jack Ros, 72 ans, directeur régional du ministère de la Justice (PJJ) retraité
2 - Nicole Bertin, 58 ans, journaliste
3 - Gilles Clavel, 62 ans, médecin généraliste
4 - Dominique Guignard, 48 ans, infirmière
5 - Emmanuel Arcobelli, 50 ans, cadre de la fonction publique territoriale
6 - Valerie Delcroix, 50 ans, géographe d’aménagement, chef d’entreprise
7 - Bernard Landreau, 65 ans, directeur d’école primaire, retraité
8 - Sylvie Ruiz, 58 ans, cadre de santé, retraitée
9 - Olivier Bricaut, 40 ans, professeur d’histoire
10 - Claire Jacquemin, 62 ans, commerçante
11 - Jean-Paul Rodriguez, 58 ans, agent de sécurité
12 - Monique Doucet, 71 ans, agent au Ministère des finances, retraitée
13 - Emmanuel Milemont, 28 ans, auto-entrepreneur, domaine musical
14 - Maria Lafourcade, 44 ans, infirmière
15 - Jacques Bordereau, 48 ans, écrivain public
16 - Muriel Villers, 52 ans, secrétaire
17 - Christian Bourmaud, 58 ans, directeur d’école élémentaire
18 - Reine Makotomalala, 57 ans, infirmière
19 - Bernard Chardon, 71 ans, VRP, retraité
20 - Roberte Merle, 73 ans, professeur de physique chimie, retraitée
21 - Serge Villiers, 51 ans, artisan mécanicien
22 - Alexandra Fremanteau, 25 ans, vendeuse en recherche d’emploi
23 - Jehan Kappès-Grangé, 35 ans, ingénieur en développement